Anthoine Boesset – Je meurs sans mourir

CD du mois de Classica-Répertoire
Choc du Monde de la Musique
Prix de l’Académie Charles Cros
Recommandé par Classics Today France
5 croches d’Opéra International
« Editor’s choice » de Gramophone (R.-U.)
5 croches de Pizzicato (Allemagne)
Recommandé par Musik an sich (Allemagne)

Troisième volet d’un triptyque qui rassemble les plus fameux compositeurs d’air de cour français: Estienne Moulinié, Pierre Guédron, Anthoine Boesset. L’œuvre profane de ce dernier, la plus importante des trois, ne rassemble que 230 airs composés en une quarantaine d’années. Le degré de perfectionnisme et le talent du musicien expliquent notamment cela, et Boesset lui même le confirme dans sa préface du VIIIe livre, en 1632 :
« Cependant je me donne la hardiesse de présenter ces Airs qui ne sont pas en grand nombre, comme venans de celuy qui laisse très volontiers la quantité des ouvrages aux autres, & qui travaille pour l’eslite plus que pour la multitude. »

Distribution :
Claire Lefilliâtre dessus
Bruno Le Levreur haute-contre
Jean-François Novelli taille
Arnaud Marzorati basse-contre
Kaori Uemura, Sylvie Moquet dessus de viole
Sylvia Abramowicz, Anne-Marie Lasla basses de viole
Joël Grare percussions
Massimo Moscardo archiluth et guitare baroque
Benjamin Perrot luth et théorbe
Vincent Dumestre guitare baroque, théorbe et direction

Programme :
Une musiqua, Départ que le devoir me fait précipiter, Ballet des fous & des estropiés de la cervelle, Ballet des vaillans combattants, Récit des Syrènes, Récit d’Amphion et des Syrènes, Récit du Dieu des Songes, Récit de Mnémosyne, Récit du temps, Je meurs sans mourir, A la fin cette bergère, Entrée des laquais, Dove ne vai crudele, Frescos ayres del prado, Ô Dieu!, Anthoine Boesset
La gran chacona, Luis de Briceño
La Pacifique, Louis Constantin
Nos esprits libres et contents, Anonyme
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